Générique
Réalisateur :
Jean Vigo
Assistants réalisateurs :
Albert Riéra, Pierre Merle
Scénaristes :
Jean Vigo, Albert Riéra
Auteur de l'oeuvre originale :
Jean Guinée
Dialoguistes :
Jean Vigo, Albert Riéra
Sociétés de production :
Argui-Films, G.F.F.A. - Gaumont-Franco Film-Aubert
Producteur :
Jacques Louis-Nounez
Distributeur d'origine :
G.F.F.A. - Gaumont-Franco Film-Aubert
Directeur de la photographie :
Boris Kaufman
Cadreurs :
Louis Berger, Jean-Paul Alphen
Ingénieur du son :
Marcel Royné
Compositeurs de la musique originale :
Maurice Jaubert, Charles Goldblatt
Décorateur :
Francis Jourdain
Maquilleur :
Acho Chakatouny
Monteur :
Louis Chavance
Script :
Jacqueline Morland
Interprètes :
Jean Dasté (Jean), Dita Parlo (Juliette), Michel Simon (Le père Jules), Louis Lefèbvre (Le petit mousse), Gilles Margaritis (Le camelot), Maurice Gilles (Le propriétaire), Fanny Clair (La mère de Juliette), Rafa Diligent (Le père de Juliette), René Blech (Le garçon d'honneur), Gen Paul (L'invité qui boite), Jacques Prévert (une silhouette), Charles Dorat (le voleur), Pierre Prévert (le voyageur pressé), Lou Tchimoukov, Genya Lozinska, Albert Riéra, Paul Grimault, Claude Aveline
Gaumont et la Cinémathèque française,
en partenariat avec la Film Foundation,
et avec le soutien du CNC, ont collaboré à cette nouvelle restauration en 4K du montage original, présentée en 35mm.
Le laboratoire L'Immagine Ritrovata a été chargé de la restauration numérique.
Restauration supervisée par l'historien Bernard Eisenschitz.
Projetée en avril 1934 à un public corporatif, la quête de la version originale de L'Atalante débute peu de temps après, dès la distribution publique du film. Il sort alors sous le titre Le Chaland qui passe, la musique de Maurice Jaubert ayant été remplacée. De nouvelles copies ont ensuite circulé après-guerre, contenant des coupes ou des intégrations de chutes. Grâce à la collaboration de nombreuses cinémathèques, la comparaison de copies nitrate d'époque a permis d'élaborer une reconstruction méticuleuse du film supervisée par l'historien Bernard Eisenschitz. Ce travail a permis de restituer le montage validé par Vigo avant sa mort.